l’Histoire c’est le récit des événements du passé ça c’est
ce qu’on m’a enseigné à l’école et à l’époque l’école c’était quelque chose et
nous prenions tout ce qu’elle nous apprenait pour argent comptant bien que mes camarades
et moi nous nous posions des questions sur la nature des immortels qui relataient
l’histoire du Big Bang à nos jours comme s’ils y étaient .
Avec le temps je me suis aperçu qu’il fallait approcher l’histoire
au pluriel : il y a l’histoire des vainqueurs , l’histoire des vaincus ,
l’histoire des neutres , l’histoire des alliés , l’histoire des scientifiques ,
l’histoire des sudistes , l’histoire des nordistes , l’histoire des séfarades ,
l’histoire des ashkénazes et même des falashas …La liste est longue et t’as qu’à
choisir celle qu te convient à défaut de l’écrire .
Si je vous parle histoire c’est parce qu’elle se répète ,
parce qu’il y a un avant-Deuxième Mondiale et un après-Deuxième Guerre Mondiale
, parce que quand l’Occident a des problèmes et il en avait avant la première
guerre mondiale et il en a actuellement il lui faut une guerre , parce l’histoire
aussi nous apprend que les juifs ont été récupérés par les américains à la fin
de la Deuxième Guerre
Mondiale pour contrôler et mettre au pas les européens et cette alchimie a
produit entre autres la Shoah
, Israël , les fours à gaz , l’antisémitisme ainsi que tous les maux et fléaux
que le monde a connu depuis .
Aujourd’hui la donne a changé et ça commence à sentir
le souffre pour les américains et ce que sentent les américains les juifs le
sentent aussi et le dilemme des Yankees c’est soit continuer à exécuter l’agenda
des juifs et les deux couleront ensemble soit ils laissent tomber les israélien
et limiter l’activité du lobby juif pour
échapper à la bourrasque qui approche à pas de géant ; Le rapprochement
avec l’Iran peut etre un signe avant coureur .
Dans mes investigations dans ce cadre je suis tombé sur le
point de vue d’un initié que vous trouverez ci-dessous et que je vous
recommanderai de lire .
Contre
l’Hollywoodisme, le Révisionnisme
par Robert Faurisson
Le
terme d’Hollywoodisme désigne la transformation, souvent mensongère, de la
réalité par l’esprit et les pratiques de tout un cinéma américain. En un
premier temps, je traiterai de la malfaisance en général de l’Hollywoodisme. En
un deuxième temps, je décrirai les méfaits de l’Hollywoodisme dans la formation
de l’imposture de « l’Holocauste », c’est-à-dire dans la construction
du mythe du génocide, des chambres à gaz et des six millions de juifs tués
pendant la Seconde
guerre mondiale par les Allemands. Enfin, en un troisième et dernier temps, je
parlerai du Révisionnisme comme antidote par excellence contre l’Hollywoodisme
et son incessant battage en faveur de la religion de
« l’Holocauste ».
Selon l’American Heritage Dictionary,
« Hollywood » peut désigner « the U.S.
film industry » mais aussi « A flashy, vulgar atmosphere or
tone, held to be associated with the U.S. film industry ». Employé
comme adjectif le mot signifie soit « relating to the U.S. film industry: a Hollywood movie, a
Hollywood producer », soit, selon la citation offerte : « Flashy
and vulgar, their clothes were pure Hollywood »
(tape-à-l’œil et vulgaires, leurs vêtements étaient du pur Hollywood ).
Un
exemple bien connu de l’idéologie propagée par cette industrie du film est
que le monde se partage essentiellement entre Bons et Méchants. Les Bons sont
les USA et les Méchants
sont ceux que les USA décrètent tels. Les Bons sont fondamentalement Bons et
les Méchants sont fondamentalement Méchants. Toujours les USA sont dans leur
droit et gagnent tandis que toujours les Méchants sont dans leur tort et
perdent. Il ne peut, il ne doit donc y avoir de pitié pour les vaincus :
leur défaite prouve qu’ils étaient bien des criminels. Les vainqueurs
s’arrogeront le droit de juger ou de faire juger les vaincus.
Tout le
monde a en tête ce qu’on appelle « les atrocités nazies », en
particulier les images de cadavres ambulants ou de cadavres proprement dits.
Depuis maintenant 67 ans Hollywood nous les présente comme la preuve que les
Allemands possédaient des usines de mort où les SS passaient leur temps à tuer
notamment des juifs. En réalité, ces cadavres étaient la preuve qu’à cause de
la destruction systématique par les Alliés des villes allemandes, l’Allemagne
de 1945 était à l’agonie : les habitants qui avaient survécu à ces déluges
de fer et de feu vivaient dans les décombres ou dans des trous, exposés au
froid et à la faim ; souvent il n’y avait plus guère de nourriture, de
médicaments ; les hôpitaux et les écoles étaient détruits ; les
trains et les convois ne circulaient à peu près plus ; les réfugiés de
l’Est affolés par les crimes et les viols de l’Armée Rouge se comptaient par
millions. En 1948 le cinéaste italien Roberto Rossellini a honnêtement décrit
cette situation dans Germania,
Anno Zero. Aussi ne faut-il pas s’étonner qu’en 1945, dans les camps de
travail ou de concentration, régnaient la disette et les épidémies de typhus,
de fièvre typhoïde, de dysenterie tandis que les médicaments et les
produits de désinfection tels que le Zyklon B manquaient cruellement.
Hollywood
a eu, avec le cinéma britannique et la propagande soviétique, une terrible et
directe responsabilité à la fois dans les mensonges qui ont accompagné ce qu’on
a appelé la découverte des camps de concentration allemands (1945) et dans
l’ignoble lynching party (l’expression est de Harlan Fiske
Stone, président de la cour suprême des Etats-Unis à l’époque) du procès de
Nuremberg (1945-1946) où les vainqueurs coalisés se sont faits juges et jury
des vaincus. Il est tout à fait vrai qu’en 1945, même un camp de concentration
privilégié comme celui de Bergen-Belsen offrait une vision de cauchemar. Mais
les horreurs qu’on y découvrait alors n’avaient pas été créées par les
Allemands. Elles étaient imputables à la guerre et, en particulier, à une
guerre aérienne impitoyablement menée jusqu’au bout par les Alliés contre… les
civils. Il fallait un beau cynisme pour montrer ces horreurs en pointant un
doigt accusateur en direction des vaincus alors que les principaux responsables
en étaient l’US Air Force et la
Royal Air Force. En avril 1945, n’y tenant plus, le
commandant du camp de Bergen-Belsen, le capitaine SS Josef Kramer, avait alors
envoyé des hommes au-devant des troupes du maréchal britannique Montgomery pour
les prévenir qu’ils approchaient d’un terrible foyer d’infection et qu’il ne
fallait pas relâcher immédiatement les détenus sous peine de voir ces derniers
contaminer la population civile et les soldats britanniques. Ces derniers ont
accepté de collaborer avec la Wehrmacht. Arrivés sur place, ils ont retenu les
internés et tenté de les soigner mais la mortalité est longtemps restée
épouvantable. Les Britanniques ont voulu savoir combien de personnes avaient
été enterrées dans de vastes fosses communes. Ils ont extrait les cadavres, les
ont comptés, puis, s’aidant d’un bulldozer, un officier britannique a repoussé
ces cadavres en direction de six grandes fosses où les soldats britanniques ont
forcé des gardiennes SS à jeter à mains nues les cadavres dans les fosses. Mais
très vite cette réalité a été transformée par les services de la propagande
cinématographique. On a fait croire que ces cadavres étaient ceux de gens tués
dans le cadre d’un prétendu programme d’extermination. Une photographie prise
d’avion et montrant au loin le bulldozer a permis de faire croire que l’engin était
conduit par un soldat allemand en train d’effectuer sa besogne quotidienne
d’employé d’une usine de mort. Dans un cas, une photo prise de près montrait le
bas de l’engin poussant des cadavres mais elle « décapitait » le
chauffeur de sorte que, ne pouvant pas voir qu’il s’agissait d’un Britannique,
on s’imaginait que le chauffeur était allemand. D’une manière générale, les
Américains ont multiplié les falsifications de cette nature. Le généralissime
américain Eisenhower a été le grand organisateur de cet Hollywoodisme exacerbé. On a fait venir sur place, en
uniforme de lieutenant-colonel, le fameux cinéaste hollywoodien George C.
Stevens. Son équipe a tourné 80 000 pieds de film dont il a sélectionné pour
le procureur adjoint Donovan 6 000 pieds (soit 7,5% du total). Ce sont ces
morceaux soigneusement choisis par l’accusation américaine qui, le 29 novembre
1945, presque en levée de rideau de l’infâme « Procès de Nuremberg »,
ont été projetés à la stupéfaction du monde entier ; certains des accusés
allemands, bouleversés, en ont déduit que Hitler avait, dans leur dos, perpétré
un énorme crime. C’est en ce sens qu’on peut dire du « Procès de
Nuremberg » qu’il a marqué le triomphe de l’Hollywoodisme.
« L’Holocauste »
des juifs est ensuite devenu une sorte de religion dont les trois principales
composantes sont l’extermination, les chambres à gaz et les six millions de
martyrs. Selon un article de foi de cette religion Hitler aurait ordonné et
planifié le massacre systématique de tous les juifs européens ; ce
faisant, il aurait commis un crime sans précédent, un crime spécifique, plus
tard appelégénocide. Puis, afin de perpétrer ce crime spécifique, il
aurait notamment fait mettre au point une arme spécifique, une arme de
destruction massive, lachambre à gaz, fonctionnant en particulier avec
un puissant insecticide, le Zyklon B, fait à base d’acide cyanhydrique. Enfin
le résultat de cet énorme crime aurait été la mort de six millions de juifs européens. Le camp
d’Auschwitz-Birkenau aurait été le point central, le point culminant, le
Golgotha de cette horreur. Après la guerre il s’est développé autour de cette
sainte trinité de « l’Holocauste » toute une propagande, toute une
industrie de « l’Holocauste », tout un commerce : le
« Shoa-Business ». Aux Etats-Unis, l’industrie du cinéma s’est
nourrie de cette croyance et l’a propagée dans tout le monde occidental. C’est
surtout à partir de 1978 qu’une telle propagande s’est développée en
particulier avec les quatre épisodes de la mini-série américaine Holocaust racontant la saga de la famille Weiss.
Il n’est pas exagéré de dire que la projection de ce feuilleton est devenue, à
partir de 1979, quasiment obligatoire dans toute une partie du monde. Elle a
déclenché un torrent de films parmi lesquels, de Steven Spielberg, La Liste de Schindler,
de Roberto Benigni, La Vie est
belle, de Roman Polanski, Le
Pianiste. En France, en 1985, Claude Lanzmann nous a gratifiés d’un
documentaire-documenteur de plus de neuf heures: Shoah. Le nombre d’Emmy
Awards, d’Oscars ou d’autres récompenses attribués à des films de ce genre est
stupéfiant. Un mogul de l’Entertainment Industry, Andrew Wallenstein, a
un jour déclaré dans The
Hollywood Reporter :
« Disons-le, simplement : la raison pour laquelle on voit tant de films
sur l’Holocauste est qu’ils sont des appâts pour obtenir des prix. » C’est
de telles constatations qu’est née la formule « There’s No Business
Like Shoa Business », inspirée du refrain, notamment chanté par Liza
Minnelli, de la chanson « There’s No Business Like Show Business ».
3. Le Révisionnisme est un antidote au poison de l’Hollywoodisme
Le
Révisionnisme n’est pas une idéologie mais un remède à la tentation de
l’idéologie. Il est une méthode.
Qu’il s’agisse de littérature, de science, d’histoire, de médias, qu’il
s’agisse de quelque activité humaine que ce soit, il préconise qu’on
établisse la réalité d’un fait préalablement à toute considération sur ce fait.
Ce qu’on croit avoir vu, entendu ou lu, il faut à nouveau le voir, l’entendre,
le lire. Il faut se défier des impressions premières, des émotions, de la
rumeur, ne se fier à rien ni à personne aussi longtemps qu’on n’a pas mené à
fond sa propre enquête, et cela d’autant plus si l’on étudie une rumeur de
guerre car, ne l’oublions pas, en temps de guerre la première victime est la
vérité.
Le peu
de temps qui me reste ne me permet malheureusement pas de décrire ici comment
et à quel prix en une cinquantaine d’années de recherches je suis parvenu, avec
bien d’autres révisionnistes, à la conclusion que « l’Holocauste »
n’est décidément qu’une gigantesque imposture comme j’avais pu m’en convaincre
au bout de quelques années. Déjà le 17 décembre 1980 je résumais cette conclusion en
une phrase de soixante mots français dont aujourd’hui je ne vois pas un mot à
retirer. Voici cette phrase : « Les prétendues chambres à gaz hitlériennes
et le prétendu génocide des juifs forment un seul et même mensonge historique
qui a permis une gigantesque escroquerie politico-financière dont les
principaux bénéficiaires sont l’Etat d’Israël et le sionisme international et
dont les principales victimes sont le peuple allemand – mais non pas ses
dirigeants – et le peuple palestinien tout entier ».
Pour se
faire une idée des victoires spectaculaires remportées contre cette imposture,
grâce aux travaux des révisionnistes, on pourra se reporter à deux études qui
figurent dans mon blog : « Les
Victoires du Révisionnisme » (11
décembre 2006) et « Les Victoires du
Révisionnisme (suite) » (11
septembre 2011). Il n’est pas exagéré de dire qu’actuellement en France et
ailleurs dans le monde les auteurs qui défendaient la thèse de
« l’Holocauste » sont en pleine déroute. Le malheur est que la
censure et la répression empêchent encore le grand public de connaître cette
bonne nouvelle ; mais avec Internet, les temps changent et vite.
Conclusion
La
croyance générale du monde occidental en « l’Holocauste » a longtemps
été l’épée et le bouclier du sionisme. Mais aujourd’hui le Révisionnisme met
cette croyance en péril. Cette conférence sur l’Hollywoodisme marquera, je
pense, une étape de plus dans notre lutte commune, une lutte pour les droits de
tous – en particulier des
Palestiniens –, une lutte pour que le monde entier se libère d’une tyrannie
fondée sur le Plus Grand Mensonge des temps modernes.
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