Héritière d'une situation calamiteuse, due à des décennies de malversations et de politiques inappropriées, l'administration mauritanienne actuelle a réalisé des progrès colossaux et inédits, dont les moindres ne sont certainement pas la restauration de la crédibilité et de la solvabilité de l'Etat. Pourtant ces réalisations-là on n'en parle pas ou si peu. Ceux qui ont perdu des avantages indus ne veulent pas en entendre parler et ce se sont ceux-là mêmes qui financent et contrôlent les médias. Il revient donc à l'équipe des finances de faire connaitre la situation des finances avant et après 2009.Et croyez-moi cela vaut tous les discours et tous les slogans. Ce sera alors la plus grande contribution à la campagne du Chef de l’exécutif sortant car de sa réélection dépend le sort de la Mauritanie et des mauritaniens.
Durant l’année 2013, la trésorerie de l’Etat a connu une bonne situation qui s’était caractérisée par l'aptitude à conserver un degré de liquidité suffisant afin d’assurer en permanence la solvabilité des engagements de l’Etat. Cette situation financière est due à l’importance des flux d’encaissement qui ont été réalisés d’une part et à la maîtrise du rythme des décaissements d’autre part. Egalement, le solde de trésorerie réalisé cette année était largement excédentaire au 31 décembre 2013. En conséquence, l’encours des Bons de Trésor (BT) constaté au 31 décembre 2012 a connu une chute considérable durant l’année 2013.
Cette année 2013 a été également marquée par un excédent de trésorerie de 78,01 Milliards d’Ouguiyas contre un déficit de 37,62 Milliards d’Ouguiyas en 2012. Ce solde représente la différence entre les recettes (hors recettes pétrolières) qui ont atteint un montant de 489 Milliards d’Ouguiyas sur une prévision de 479 Milliards soit un taux d’exécution de 102%, et les dépenses (hors dépenses sur financement extérieure et dont les charges et amortissements de la dette publique) qui ont enregistré un montant de 411 Milliards d’Ouguiyas sur une prévision de 398 Milliards d’Ouguiyas soit un taux d’exécution de 103%.
Aussi, le poste de financement (avant financement par BT et FNRH) a enregistré une moyenne mensuelle de 23,38 Milliards d’Ouguiyas et présentait un solde de 3,87 Milliards d’Ouguiyas au 31 décembre 2013.
Aussi, pour l’amélioration de la qualité de la gestion de la trésorerie, la direction a procédé régulièrement à la production et à la mise à jour du plan de trésorerie et a veillé au maintien et au respect du principe de l’unicité de caisse à travers le compte unique du Trésor à la BCM (CUT). Parallèlement, le système d’interfaçage entre le Trésor et la BCM, qui permet la production d’une réconciliation quotidienne du CUT, a été mis en place et commence à être opérationnel.
Cette année 2013 a été également marquée par un excédent de trésorerie de 78,01 Milliards d’Ouguiyas contre un déficit de 37,62 Milliards d’Ouguiyas en 2012. Ce solde représente la différence entre les recettes (hors recettes pétrolières) qui ont atteint un montant de 489 Milliards d’Ouguiyas sur une prévision de 479 Milliards soit un taux d’exécution de 102%, et les dépenses (hors dépenses sur financement extérieure et dont les charges et amortissements de la dette publique) qui ont enregistré un montant de 411 Milliards d’Ouguiyas sur une prévision de 398 Milliards d’Ouguiyas soit un taux d’exécution de 103%.
Aussi, le poste de financement (avant financement par BT et FNRH) a enregistré une moyenne mensuelle de 23,38 Milliards d’Ouguiyas et présentait un solde de 3,87 Milliards d’Ouguiyas au 31 décembre 2013.
Par ailleurs, grâce au dynamisme d'un personnel soucieux de la qualité des services rendus aux usagers, le délai de traitement de chèques du Trésor a été respecté (moins de 24h de traitement de chèques). Cela a permis d’éviter les goulots d’étranglement constatés qui pourraient, le cas échéant, susciter de mauvais comportements au sein de la DGTCP.
D’autre part, la DGT a procédé à la collecte des données et informations relatives à la dette (conventions, décaissement et lettre de réclamations) afin d’améliorer la gestion de la dette publique et le suivit des situations mensuelles déterminant les échéanciers de paiement.
Le rapport d’activité qui suit retrace la mission de la DGTCP et chacune de ses directions et services pour enfin aborder les réalisations et perspectives.
Sidi HAMADA
Pour accéder au rapport cliquez sur le lien ci-dessous :
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